Les utilisateurs des réseaux sociaux ont critiqué le lecteur pour son erreur dans la récitation des versets du Coran, et ont condamné les responsables de la planification religieuse pour ne pas avoir signalé l'erreur.
Cheikh Muhammad Hashad, président de l'Union des lecteurs égyptiens, a déclaré à propos de l'erreur de lecture du Cheikh Muhammad Al-Salkawi dans sa récitation du Coran : « L'Union des lecteurs égyptiens avait déjà décidé de suspendre le Cheikh Al-Salkawi pour un an, à cause de ses erreurs répétées dans la récitation du Coran, mais avait réduit cette suspension à six mois, et le récitant devait être présenté au comité de planification religieuse de la radio, pour enquête ».
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Selon Hashad, le responsable de la planification religieuse aurait dû signaler l'erreur du lecteur, sans tenir compte de la présence du ministre et du mufti dans la file d'attente pour la prière du vendredi, et son erreur aurait dû être corrigée en présence de tous les témoins : « Lors de la prière du vendredi, le lecteur doit réciter une sourate qu'il maîtrise. Le Coran et la récitation du Coran ont une grande importance dans ce pays dont sont issus bon nombre des lauréats des compétitions coraniques internationales organisées en Égypte », a-t-il dit.
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